Ce sont 3 petites souris marseillaises assises autour d’une table au fond d’un grenier qui discutent le bout de gras. Et la modestie n’est pas leur vertu cardinale. La première affirme avec insolence :
- « Vous savez les tapettes dans lesquelles on nous attire avec un morceau de gruyère ?
Eh bien moi j’ai réussi à en soulever les mâchoires et a prendre le fromage ! »
La deuxième, pour ne pas être en reste enchaîne :
- « Vous voyez les grains de blé empoisonnés qui traînent ça-et-là ?
Eh bien moi je les grignote comme des biscuits à l’apéritif ! »
C’est alors que la troisième souris se lève et prend congé des deux autres souris.
- « Où vas-tu ? » lui demandent-elles inquiètes
- « Je rentre. C’est l’heure d’enculer le chat. »
C’est un marseillais qui raconte à ses potes ses exploits de chasse :
- « Un jour, dans la foret, je suis tombé nez à nez avec un sanglier. Sans mentir, il faisait au moins 600 kg, con, le sanglier. Quand il a commencé à charger, tè, j’ai pas hésité, j’ai pris mon fusil, j’ai mis 1 seule cartouche, et j’ai tiré pile entre les 2 yeux !! Je vous jure, il s’est écroulé immédiatement, con. Ensuite, j’ai sorti mon couteau de survie ( la lame fait au moins 30 cm!! ), et j’ai découpé une cuisse. Bonne mère, j’ai mis la cuisse énorme sur mon épaule, et j’ai laissé le reste de la carcasse. Sur le chemin du retour, je tombe nez a nez avec un superbe cerf !! Sans mentir, il faisait au moins 500 kg, ce cerf. J’ai pas hésité un instant, bonne mère, j’ai posé la cuisse de sanglier, j’ai pris mon fusil, j’ai mis 1 seule cartouche, et j’ai tiré pile entre les 2 yeux !! Je vous jure, il s’est écroulé immédiatement, con. Ensuite, j’ai sorti mon couteau de survie ( la lame fait au moins 40 cm!! ), et j’ai découpé un cuisseau. J’ai mis les 2 cuisses sur mes épaules, et j’ai laissé le reste de la carcasse, bonne mère. »
A ce moment, le téléphone sonne. Il va décrocher, discute un peu, puis, après avoir raccroché, retourne voir ses potes :
- « J’ en étais ou de mon histoire, les gars ? »
Les autres : « Ben con, tu avais les 2 cuisses sur les épaules… »
- « Ah oui !! Et ben la, j’ai penché ma tête, et je lui ai bouffé la chatte à cette salope !!! »
Il était une fois un homme parfait et une femme parfaite qui se rencontrèrent. Après s’être fait la cour,
ils se marièrent ; leur union était bien sûr parfaite.
Une nuit de réveillon de Noël, ce couple parfait conduisait
sa voiture parfaite le long d’une route déserte lorsqu’ils remarquèrent quelqu’un en détresse sur le bord de la route.
Étant parfaits, ils s’arrêtèrent pour donner leur aide.
La personne en détresse était le père Noël, avec sa hotte remplie de cadeaux.
Ne voulant pas que des milliers d’enfants soient déçus une veille de Noël, le couple parfait pris le père Noël et ses jouets à bord de la voiture parfaite et l’accompagnèrent pour la distribution des cadeaux.
Malheureusement, à cause du mauvais temps, le couple parfait et le père
Noël eurent un accident. Seulement l’un d’entre eux survécu à cet accident.
LEQUEL ?
La femme parfaite a survécu !!!!
En fait c’est la seule personne de cette histoire qui existe vraiment !
Tout le monde sait bien que le père Noël et l’homme parfait ça n’existe pas !
Les femmes s’arrêtent de lire à partir d’ici, c’est la fin de la blague.
Les hommes peuvent continuer
Donc si le père Noël n’existe pas, pas plus d’ailleurs que l’homme parfait, la femme devait forcément conduire…..
Cela explique l’accident.
Encore un peu plus bas
D’autre part si vous êtes une femme et que vous êtes en train de lire ceci, nous sommes en train d’illustrer une autre vérité :
Les femmes n’écoutent jamais ce qu’on leur dit !
les photos ci-dessus... je les ai prises au Moulin de Genêts... 50 je ne puis vous donner de plus amples infos sur ce moulin, ce que je puis vous en dire, c'est que les roues sont en état de fonctionner et qu'il a deux roues... l'une derrière l'autre!!!
vu cette carte postale du moulin autrefois... en provenance du net
je vous souhaite un bon lundi...